Danse et cerveau : un duo gagnant

Danser nous fait du bien, c’est un moment où l’on oublie tout car on ne se concentre que sur nos pas et la musique, et pour cause lorsque nous danser notre cerveau libère une cascade de molécules comme l’ocytocine, une hormone de l’attachement et de la dopamine, libérée dans le circuit de récompense. Le tout avec une diminution du cortisol, responsable du stress.

A l’école et dès le cycle 1, nous mettons en place des situations pour inciter les enfants à bouger , à danser, à ne pas avoir peur de toucher la main de son camarde, à s’exprimer par son corps. Et c’est très important, car dès la vie in utéro et plus tard après la naissance, les enfants ressentent la musique et bougent sans peur, ni inhibition qui apparaît à l’âge adulte. De plus des études à l’université de Londres ont montré que la danse améliorerait le système immunitaire.

Pour rassurer les élèves et former le groupe classe, on commence à les faire entrer dans des rondes. Le fait de faire déplacer les élèves de façon synchrone fait du bien. On se sent entouré, et faisant partie d’un tout. Le toucher a par ailleurs des effets positifs sur le corps, il régule le rythme cardiaque et baisse le stress.

Pour aller plus loin, certains chercheurs trouvent que la danse est meilleure pour entrer en méditation en pleine conscience. Elle permet de nous ancrer dans l’ici et maintenant. La seule concentration sur la coordination gestuelle, la musique, les pas leur provoque du bien être. Alors on danse ?

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